Éthique & Conformité
Repossi et ses collaborateurs s'engagent à respecter les principes d’éthique et de conformité au plus haut niveau, ainsi que les valeurs qui constituent le fondement de la culture globale d'entreprise de Repossi, à tous les niveaux.
Au sein de Repossi, nous croyons dans la transparence, l'intégrité et la responsabilité, garantissant que nos collaborateurs peuvent avoir confiance dans notre engagement à agir de la bonne manière. Les valeurs et les principes d'éthique et de conformité définissent notre organisation et promeuvent une culture d'intégrité et de responsabilité. Repossi encourage vivement la diffusion des valeurs et des principes d'éthique et de conformité au sein de ses sociétés.
A cet égard, Repossi a défini des politiques d'éthique et de conformité conçues pour prévenir, détecter et corriger les violations et les comportements inappropriés au sein de son organisation.
Repossi, faisant partie du groupe LVMH, adhère aux codes, politiques et système d'alerte suivants qui constituent ses principaux standards d'éthique et de conformité :
> Accéder au Code de Conduite LVMH
> En savoir plus sur la LVMH Alert Line
> Accéder au Code de Conduite Fournisseurs
> UK Modern Slavery Act 2015 - 2021 & 2022 Statement
Politique relative à l’approvisionnement responsable
(a) à respecter les droits de l’Homme,
2) La Maison REPOSSI est un membre certifié du « Responsible Jewellery
Council (RJC) ». En tant que tel, nous nous engageons à prouver, au moyen
d’une vérification par un tiers indépendant, que nous :
Nous cesserons toute relation avec des fournisseurs en amont si nous
identifions un risque indiquant raisonnablement qu’ils se livrent aux
violations mentionnées au paragraphe 3, qu’ils s’approvisionnent auprès de
tiers commettant ces violations ou qu’ils sont associés à ceux-ci.
4) Concernant le soutien direct ou indirect aux groupes armés non
étatiques :
Nous cesserons immédiatement toute relation avec des fournisseurs en
amont si nous identifions un risque raisonnable qu’ils s’approvisionnent auprès
de tiers soutenant directement ou indirectement des groupes armés non étatiques
tels que ceux visés au paragraphe 4 ou qu’ils sont liés à ceux-ci.
5) Concernant les forces de sécurité publiques ou privées :
Nous affirmons que le rôle des forces de sécurité publiques ou privées
est d’assurer la sécurité des travailleurs, des installations, des équipements
et la propriété en conformité avec l’État de droit, y compris la législation
qui garantit les droits de l’Homme. Nous ne fournirons aucun soutien direct ou
indirect à des forces de sécurité publiques ou privées qui commettent les
atteintes décrites au paragraphe 3 ou qui agissent illégalement comme décrit
dans le paragraphe 4.
Nous nous abstenons d’offrir, de promettre ou d’accorder des pots-de-vin
aux fins de cacher ou de masquer l’origine des matériaux, de faire de fausses
déclarations concernant les taxes, les droits et les redevances versés aux
gouvernements pour l’extraction, le commerce, le traitement, le transport et
l’exportation de l’or, l’argent, les métaux issus de la mine de platine, les
diamants et les pierres de couleur.
7) Concernant le blanchiment d’argent :
Le
blanchiment d’argent est le processus qui consiste à dissimuler la nature et la
source de l’argent ou d’autres biens liés à une activité criminelle, comme le
trafic de stupéfiants, le terrorisme, la corruption ou les pots-de-vin, en
intégrant l’argent ou les biens illicites dans le flux commercial afin qu’il
semble légitime ou que leur véritable source ou propriétaire ne puisse être
identifié.
Les
personnes impliquées dans l’activité criminelle tentent de dissimuler le
produit de leurs crimes ou de les faire paraître légitimes en les «
blanchissant » par le biais d’entreprises légitimes. De même, le terrorisme
peut être financé par des fonds légitimes, parfois appelés « noircissement
d’argent » parce qu’une entreprise légitime est utilisée pour financer une
activité criminelle.
Le
processus de blanchiment d’argent se fait généralement en trois étapes, en
phases séparées ou distinctes, qui peuvent comprendre de nombreuses transactions.
L’une ou l’autre de ces transactions ou étapes pourrait impliquer une
entreprise ou ses employés :
(b) La deuxième étape consiste à séparer les produits illicites de leurs sources (la superposition) en créant des couches complexes d’opérations financières conçues pour dissimuler la piste de vérification et assurer l’anonymat. Cette étape dépendra généralement des étapes ou des activités effectuées pendant l’étape de placement. Par exemple, après avoir effectué un dépôt sur un compte bancaire au cours de l'étape de placement, un auteur de blanchiment d'argent pourrait effectuer plusieurs transferts et transactions pour déplacer les fonds déposés afin de dissimuler le dépôt initial. Le placement et la superposition sont généralement effectués par l’intermédiaire d’une tierce partie.
(c)
La troisième étape consiste à tenter de rendre le
produit des activités illégales tout à fait légitime (la réintégration).
Si le processus de superposition a réussi, les systèmes d’intégration remettent
les produits blanchis dans l’économie de manière à ce qu’ils semblent être des
fonds légitimes pour le système financier. Par exemple, les produits du crime
pourraient être utilisés pour acheter une entreprise tierce, qui suit
soigneusement les règlements, et les profits de l’entreprise sont ensuite
transférés à l’entreprise criminelle d’une manière qui semble légitime.